THE RETURN OF THE 120 MAGICIANS, nouvel album du Drahomira Song Orchestra : nos orgies sont plus belles que vos porcelaines de Limoges...

Publié le par Dr Devo


(Photo : "Kino" de Julien Pacaud, tous droits réservés, reproduction interdite. Renseignements et autres travaux :
Institut Drahomira)



Chers Focaliens,
;" />Il rattrape finalement notre orecchie, avec la puissance d'un masso sonorous, de ce nouveau CD du collectif français mystérieux, déjà annoncé pendant longtemps et à le long du procrastinato. Malheureusement "le retour des sorties de 120 magiciens" dans l'édition limitée de 100 copies, et la nationalité de l'étiquette (russe) d'elle ne favorise pas sûr le reperibilità. Péché, parce qu'ébauche en effet d'un grand disque. Le mélange industriel d'hinterland avec la tradition française - d'Edgar Varése à Olivier Messiaen, et jusqu'à la musique concrète des multiples Luc Ferrari - et avec une force sûre de wagneriana, mais également avec le musics réitéré et, laborieux pour croire, avec le mutuate d'infuences de l'hanche-houblon. Tous, en conclusion, il vient souvent transporté dans les territoires d'un dissonance extrême ('comme 'Merzbow). Disant cela, quelqu'un pensera que je le prends pour les fonds. Et à la place pas, et le bel est que tout ceci très de Dieu est mené de nouveau à un son unité unseizable et incroyable. Le commencement est au maximum des tours avec un lent monté et malsain, cela qu'il peut faire pour penser à une non-roche d'incarnation du Sabbath noir, et le proseguimento est un vol circulaire, dont balayant également, les zones de dissonance émergent. Le troisième brano retourne la situation de la précédente, est qui est le scampoli de l'émergence pure de melodia d'une barrière de bruit. Collez votre porcelaine de fantaisie De Limoges vers le haut de votre à... Paul Richard est un bolgia infernal sur ce que le fraseggio est obstiné et rapide levés du violino et, à la fin, d'une voix moitié-cachée qui présente le conducteur de matière du brano successif. Sur la beauté le mettre 't savent, capolavoro du disque, le leitmotiv en fait qu'il est représenté de la boucle des voix souligne réitéré vous à l'incedere du pianoforte. Beaucoup de grace de sfocia de Dieu dans un extrait court qui condense le tout combien a été exprimé du brani précédent (boucle des voix, du pianoforte et des broadsides des dissonances). Après cet intervalle la distance principale reprend sur les routes du bruit, criticsembra paranoïaque pour venir juste de la cour de M. Masami Akita, alors que dedans de n'importe quel snoda aimable relativement plus calme et avec lui est presque surrealistically le jazzati décrit. Mais le soffuso gorgogliare diDanse de mort qu'il prend a supporté les distances de n'importe quelle forme d'otomismo alors, et introcuno infantile de giochetti valable à l'âme de hanche des atmosphères se sont rouillés de la pensée magique. C'est donc la période d'un romanticismo de pianistico et d'orchestrale qui vient distribué au scampoli et qui dans sa distance il va rencontrer une voix de sermoneggiante. L'un tito pénultième il solutions augmentées par ripresenta plus et liquéfié, mais cependant chargé avec la tension, avant le scoppiettante final où les bruits et les voix viennent des affaires à vous avec des techniques typiquement des 'distributeurs de hanche '. L'Orchestre De Chanson De Drahomira: jugglers d'inferociti ou de gaudenti de fachiri? Au posteri la phrase laborieuse, vous tandis que fées les possibles afin de mettre les mains sur ce disque.

Et justement, pour se procurer le disque c'est ici :
www.waystyx.com ou www.soleilmoon.com

Et je me suis permis de mettre un extrait de l'album THE RETURN OF THE 120 MAGICIANS en tête de gondole dans le juke-box, juste en dessous de la pin-up au biniou... Bon Voyage...

Pour ceux qui en veulent plus et pour découvrir les travaux graphiques, photographiques, musicaux et cinématographiques de L'Institut Drahomira, c'est ici :
www.institutdrahomira.com



Dr Devo.


Publié dans Musika Degenerata

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K
Je lis "porcelaine de Limoges" et je me dit que c'est pour moi ça... ;)<br /> <br /> pas mal du tout l'extrait mis dans ta radio... les flux et reflux rappellent effectivement la musique concrète très "française"... tien, ça me fait penser que j'ai écouté pas mal de Pierre Henry récemment et que lui aussi a été marqué par Messiaen mine de rien ;)<br /> <br /> A +
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L
Oui, j'ai vu UNE PASSION : je me souviens l'avoir beaucoup aimé...
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L
Ecoute le DVD que j'ai acheté contenait pour 15 euros (donc on est à 7,5 euros par DVD) Toutes ses femmes et Une passion.  C'est assez extrême comme écart, mais plus qu'intéressant. Une passion est tourné sur l'ile de Faro, et rien que ça te donne envie d'aller mettre les pieds en Suède. J'ai repensé à ce que tu disais de Badlands, et c'est vrai que dans Bergman tu as cette perte, cette incertitude, que tu ne retrouves pas toujours chez Malik. Cela dit Days of Heaven est à mon avis bien plus trouble que Badlands (inceste frère soeur), et t'intéressera plus. <br /> A ce jour celui qui m'a le plus impressionné, c'est "De la vie des marionnettes", tourné en Allemagne, un truc à couper le souffle, qui contient pêut-être parmi les plans de visage les plus stupéfiants du cinéma.
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L
Ah, je ne le connais pas celui-là - je n'ai pas beaucoup de Bergman, que j'aime bien pourtant (surtout L'HEURE DU LOUP et LE SILENCE - pas encore vu PERSONA). Mes antennes y seront attentives !
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L
Bonjour Docteur.tout ceci, dans un franc élan d'hilarité, me rappelle "Toutes ses femmes" de Bergman, série Z du maître (oui, j'aime beaucoup Bergman), où il parodie les attitudes des critiques musicaux. C'est un DVD qui doit figurer dans la collection du marquis. Ne serait-ce que comme exemple frappant de ce qu'un grand cinéaste, sans travail ni inspiration, ne fait rien. Lui même déteste ce film!
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